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Beko se classe à la 44e place des entreprises les plus durables au monde

Publié le 18 juillet 2024

Beko se classe à la 44<sup>e</sup> place des entreprises les plus durables au monde

Par rapport à un classement parmi les 500 premières entreprises les plus performantes au monde en matière de responsabilité sociétale et environnementale, mis en place par TIME magazine, Beko occupe la 44e place. Une reconnaissance très importante pour le spécialiste mondial de l’électroménager, car ce classement met en valeur les performances du groupe en termes de RSE et ses engagements pour le climat avec sa feuille de route Net Zéro.

Beko a notamment obtenu un score de 75,68 sur 100, en se plaçant au quatrième rang parmi toutes les entreprises des secteurs de la "fabrication et production industrielle", et à la première place parmi les entreprises d’électroménager.

« Notre classement témoigne de l’engagement passionné de toutes nos équipes, a déclaré Hakan Bulgurlu, PDG de Beko. Chez Beko, nous croyons fermement qu’un avenir durable commence à la maison, avec chacun d’entre nous. Cette reconnaissance de TIME et de Statista renforce notre volonté d’innover et de redéfinir ce qui est possible dans notre secteur. Nous nous engageons à développer des produits qui non seulement facilitent la vie quotidienne, mais contribuent également à une planète plus saine pour les générations actuelles et futures ».

Le classement de TIME et Statista a évalué plus de 5 000 entreprises mondiales en utilisant une méthodologie complète et rigoureuse en quatre étapes. Tout d’abord, les entreprises non durables ont été exclues, en particulier celles opérant dans des secteurs nuisibles à l’environnement ou faisant l’objet de controverses importantes en matière de développement durable.

Ensuite, les entreprises ont été évaluées en fonction de leur participation à des initiatives reconnues en matière de développement durable, telles que l’initiative Science Based Targets, ainsi que de leurs performances dans des évaluations comme les notations du CDP (Carbon Disclosure Project).

La troisième étape consistait à examiner la disponibilité, la qualité et le respect des normes internationales des rapports de développement durable des entreprises. Enfin, les principaux indicateurs de performance liés à l’impact environnemental (émissions, consommation d’énergie, adoption d’énergies renouvelables) et à la responsabilité sociale (diversité des genres, sécurité des employés, etc.) ont été analysés.